Mercredi, le jour des farces. Oui, Freddie avait décrété que dans son emploi du temps, il y aurait un jour pour les farces. Parfois, ça lui arrivait de changer de jour mais en général, c'était le mercredi. Enfant, elle adorait ce jour car c'était le jour le plus cours de la semaine. En première année, cela restait encore le cas mais plus du tout à partir de la deuxième année. Mais bon, la Gryffondor avait fini ses cours de l’après midi et avait un peu quartier libre. Une petite farce était donc en préparation. Freddie avait l'embarras du choix : bombabouse dans les toilettes des filles ou des garçons, des savons sauteurs, les traditionnelles boules puantes (qui étaient très utilisées par certains jeunes moldus à ce qu'il parait) ou crèmes canari. Cette dernière était une pure invention Weasley, créée par Georges (le père de Freddie) et Fred. Cela ressemblait à une crème au caramel comme les autres mais elle vous transformait en gros canari si vous en mangiez. Il fallait alors attendre que les plumes tombent d'elles-mêmes.
Finalement, Freddie opta pour le classique savon sauteur qu'elle avait échangé dans les toilettes des filles. Des filles de cinquième année chez les Serdaigle en firent les frais. Satisfaite, la Gryffondor s'en alla faire de même vers les toilettes des garçons. Un garçon de septième débarqua et elle dût utiliser une bombabouse pour s'enfuir en vitesse. Elle n'avait aucune envie d'être prise. Puis, elle remonta les escaliers pour se diriger vers la tour des Gryffondor. Ce fut là qu'elle croisa Peeves.
- Peeves, comment ça va ? Encore en train de préparer une farce ?
Étrangement, elle était la seule qui était un peu respectée par le fantôme. Sans doute parce que ce dernier vouait un grand respect envers son père et son oncle après le magnifique bordel que les jumeaux Weasley avaient provoqué lors de leur départ à l'époque où Dolorés Ombrage était à Poudlard.
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21.06.20 15:16
Petite pause entre deux farcesFreddie et Judith
Ca me fait encore bizarre de ne pas faire d'activité physique régulièrement. Depuis que je suis arrivé ici, j'ai mon cerveau qui surchauffe quasiment en permanence. Je ne peu même plus allumer mon téléphone pour mettre de la musique et juste danser dans mon coin en me rappellent mes anciennes choré' ou en faire de nouvelle. Bref, c'est un peu la loose ici quand il n'y a pas vraiment de cours ou qu'on a fini, fallait l'admettre. J'avais juste envie d'une pause aujourd'hui, loin des livres et des parchemin après les cours. Après les classes, je me suis donc diriger vers la salle commune de Gryffondor pour aller me changer avec pour objectif d'aller courir autour du lac noir pour que je puisse oxygéner un peu ma cervelle de moineau.
Tout va bien, je croise personne que je n'ai pas envie de croiser cette fois, jusqu'à ce que j'entende que l'ont m'interpelle, arrivé entre le sixième étage et le septième étage.
- Hey ! C'est toi qui as saccager les toilettes ?
- Hein ? De quoi tu parles ?
J'ne comprends pas vraiment de quoi il parle, mais il a l'air assez fâché, la main encore devant le nez. Je l'ai regardé en dressant un sourcil avant qu'il ne m'explique la situation...Et j'ai rit.
- Ahaha « Nan », désolée, c'est pas moi, mais je t'avoue que j'aurais bien voulut.
Je suis plutôt amusé par la situation, même si c'est plus trop trop de mon âge de faire ce genre de blague a coup de boule puante, mais je ne dois pas être suffisamment mature pour pas en rire, visiblement, c'est bon signe. On s'est laissé là pour le coup, il semble convaincu que j'ai rien fait, et il est reparti a la chasse au petit blagueur.
C'est arrivé proche de la salle commune que j'ai croisé la petite Freddie. Je l'avais déjà croisé quelques fois dans la salle commune, et d'un coup, ça m'avais fait un peu tilt. Ça doit être elle la coupable des méfait des toilettes. Elle semble discuter avec un horrible fantôme moche qui me fait un instant frissonner avant que je ne l'interpelle.
- Tiens, Salut Freddie ! Tu n'aurais pas croisé « quelqu'un » qui a lâché le chaos chez les Serdaigle, « des fois »?
Je tire un peu la langue sur le côté en lui offrant un regard à moitié complice. Je me doute un peu que c'est elle, ça serait bien son genre, mais bon, c'est une accusation un peu facile, bien que je m'en fiche un peu beaucoup, au contraire, ça m'a fait quand même pas mal rire.
- « En tout cas », je serais lui, je ne me « pointerais » pas trop en bas, parce qu'il y a pas mal de fille sur les dents en ce moment, aha !
Ce n'est pas comme si j'étais pressé ; j'ai pris le temps de m'arrêter proche d'elle, en saluant rapidement, sur la pointe des pieds un peu, le fantôme difforme en face de nous.
Hrp Important ! :
les mots en italique/gras et entre " " sont en français.
Elle était en pleine conversation avec Peeves lorsque Freddie fut interpelée par une nouvelle Gryffondor, Judith. A son accent, la Weasley avait tout de suite compris que c'était une française. Sa tante, Fleurs, était également française et une année, elle avait été en France avec ses cousins. Elle n'avait rien compris à la langue natale de sa tante. Il avait fallu que sa cousine Victoire traduise tout en anglais pour elle.
- Tiens, Salut Freddie ! Tu n'aurais pas croisé « quelqu'un » qui a lâché le chaos chez les Serdaigle, « des fois »?
Freddie ne put s'empêcher de faire un grand sourire pour ensuite prendre un faux air innocent. Mais visiblement, sa camarade de maison n'était pas dupe. Et puis, une petite blague de temps en temps, ça n'avait jamais fait de mal à personne. La troisième année s'était presque donnée pour mission de perpétuer l'héritage des jumeaux Weasley. Quoique son cousin Adam le faisait aussi très bien parfois.
- « En tout cas », je serais lui, je ne me « pointerais » pas trop en bas, parce qu'il y a pas mal de fille sur les dents en ce moment, aha ! - Je crois qu'il n'est pas pressé d'y retourner (se tournant vers Peeves, un sourire malicieux sur les lèvres) à moins pour y rajouter une couche hein Peeves ?
Elle lança au fantôme un clin d’œil. Un horrible sourire déforma le visage du fantôme qui, sans demander son reste, disparut immédiatement pour semer à son tour la zizanie dans les toilettes des filles. Elle se tourna ensuite vers son aînée.
- T'en fais pas ! On est pote lui et moi ! Il adorait l'époque où mon père et mon oncle faisaient des blagues durant leurs années d'études.
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